Messages : 2093 Date d'inscription : 03/08/2010 Age : 76 Localisation : Maisons Laffitte
Sujet: Abus sexuel Lun 11 Oct - 9:23
Doit-on vraiment confier un rapport si délicat à une personne qui par son appartenance Maçonnique est l'ennemi juré de l'Eglise ? Où est le bon sens dans tout ça ? l'affaire est déjà suffisamment douloureuse fut-ce pour un seul cas pour qu'on en rajoute une couche. Que cherchent les évêques ou plutôt quelle naïveté, quel manque de bon sens. Et puis quelques remarques : - Supprimer le secret de la confession et donc faire des prêtres les flics de l'Etat ? de quoi je me mêle ? - Si un professeur commet un abus, c'est l'Education National qui doit verser des indemnités ou le coupable ? - Par contre à l'inverse on peut proposer à la grande loge de diligenter une enquête sur eux par un Catholique digne de confiance s'ils sont d'accord. Ha ! non pas d'accord ? Tiens!.....bizard. Si Monsieur Sauvé (qui porte si mal son nom) est Franc-Maçon, ipso facto il est excommunié et par conséquent il est strictement interdit à l'Eglise de France d'avoir le moindre rapport avec lui. - parce que : 100 000€ x 216000 = 21 600 0000 000 €. 21 milliards et six cents millions.....Autant dire que l'Eglise de France disparait physiquement entièrement. Non mais tu rêves mon coco. Ça c'est un fantasme de Franc-Mac. - Et vu l'imprécision du rapport, il suffirait que n'importe qui vienne dire : "moi aussi j'ai été abusé" pour toucher le pactole ?
9 Oct 2021 | Actualités Excellente analyse de Luisella Scrosatti qui examine les points au moins problématiques du document: les chiffres obtenus par sondage (même si l’ampleur du phénomène est bien réelle), les accointances maçonniques notoires du rapporteur qui, contre tous les principes d’une justice rendue librement, se trouve ici juge et parti (faisant de l’ « indépendance » du rapport, brandi par les médias comme garantie d’impartialité, une sinistre farce aux dépens de l’Eglise), le voile pudique étendu sur l’homosexualité d’une grande partie – sinon une majorité – des agresseurs, et, last but not the least, l’attaque frontale au secret de la confession.
Abus, les pièges du chantage que l’Eglise française ne voit pas
Luisella Scrosatti La NBQ 9 octobre 2021 Ma traduction,
Les résultats de la Commission sur les abus sexuels dans l’Église française sont graves, mais vient le soupçon d’une volonté de faire chanter l’Église: le chiffre élevé provient d’estimations, l’ingérence, à propos des viri probati, du fréquenteur de Loge Sauvè, qui a présidé la Commission est suspecte car elle ne saisit pas la cause principale: l’homosexualité. Le risque, c’est que l’on touche à la confession.
Les résultats de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise française sont certainement graves, mais l’impression que l’on a en lisant les journaux ne reflète pas la vérité. Bien au contraire. Le soupçon, c’est qu’on veuille crier au scandale pour éviter de s’attaquer sérieusement au fléau, et humilier l’Église, en la faisant chanter pour qu’elle accepte n’importe quelle « solution » issue du consensus séculariste. Tout d’abord, les 216 000 cas et les 2900-3200 prêtres prédateurs ne sont pas des données réelles, mais des estimations et des projections. Probables, certes, mais non vérifiées. On ne sait même pas exactement de quels crimes précis les auteurs sont coupables. En outre, ils représentent environ 4 % du total des cas d’abus. Encore trop, sans doute, mais attention à ce que ce ne soit pas ceux qui détiennent 96% des cas qui nous fassent la morale. D’autre part, il est extrêmement clair que la grande majorité des prêtres abuseurs se sont déclarés homosexuels ou bisexuels ; un fait confirmé par le fait qu’environ 80% des victimes sont des garçons. On ne pas continuer à se cacher: l’homosexualité dans le clergé est le plus grand facteur de risque d’abus sur les enfants. C’est pourquoi une certaine indulgence à l’égard d’une telle « orientation sexuelle », au moins au sein des séminaires et du presbytère, ne doit plus avoir sa place. Si l’on veut vraiment s’attaquer à ce fléau, il faut briser le réseau de dissimulation des prêtres et séminaristes homosexuels, dissimulation qui rend possible un événement comme celui du diocèse de Cleveland, le père Robert McWilliam, 41 ans, ordonné en 2017 et arrêté en décembre 2019, deux ans après son ordination, pour exploitation sexuelle d’un mineur et pornographie impliquant des enfants. Le prêtre était également un visiteur assidu d’un réseau social pour homosexuels, bisexuels et transsexuels. En six ans de séminaire, personne n’aurait rien remarqué. Bizarre. Et pourtant, la surveillance du fléau de l’homosexualité dans l’Église ne figure pas sur la liste des conseils donnés par le président de la Commission, le vice-président du Conseil d’État Jean-Marc Sauvé, qui est aussi un habitué de la Grande Loge). Au contraire, il n’hésite pas à devenir le coryphée laïciste du pire du Synode sur l’Amazonie. En quoi l’option des viri probati devrait-elle être une solution au problème de l’abus d’enfants au sein du clergé ? Étant donné que les prêtres et les religieux représentent à peu près 4 % du total des cas, et que la plupart des abus se produisent dans un contexte familial, en quoi les prêtres mariés seraient-ils une solution ? L’issue proposée par Sauvé, outre qu’elle ne tient pas compte de la réalité sacramentelle de l’Église – et la faute n’est que partiellement la sienne, puisque c’est la Conférence épiscopale française qui lui a donné carte blanche – ne tient pas compte non plus du fait que le choix du célibat ne concerne qu’un faible pourcentage de l’ensemble des abus. Plus grave encore est l’autre ingérence de Sauvé, qui n’hésite pas à s’emparer d’un point extrêmement délicat et irremplaçable de la vie sacramentelle de l’Eglise : le sceau confessionnel, avec pour conséquence l’obligation du secret. « Ce secret, qui n’admet aucune exception, est appelé ‘sceau sacramentel’, car ce que le pénitent a manifesté au prêtre reste ‘scellé’ par le sacrement » (Catéchisme de l’Église catholique, 1467). Le sceau est considéré par le quatrième concile du Latran comme étant de droit divin ; saint Thomas en explique la raison : le prêtre agit en tant que ministre de Dieu et est donc obligé de faire comme Dieu lui-même, qui ne révèle pas le péché confessé. La demande de Sauvé d’un équilibre entre le bien privé du pénitent et le bien de la communauté ne tient pas compte d’une réalité bien plus grande, à savoir le bonum sacramenti. C’est en vertu de l’essence du sacrement de pénitence que le sceau ne peut jamais être brisé, sans exception, quelle que soit la pression de l’autorité civile. Sauvé manque aussi de bon sens : selon lui, si la Conférence épiscopale française, prise de délire, devait illégitimement décharger les prêtres du sceau sacramentel, y aurait-il encore quelqu’un qui irait se confesser, surtout de certains péchés qui sont aussi des délits civils et pénaux ? Il est donc clair que les conseils de Sauvé sont spécieux : ils ne résolvent pas le problème d’un iota, tout en essayant de pousser à des réformes internes de l’Église qui sapent sa structure sacramentelle. Il faudrait être un peu plus prudents avant de confier des sujets aussi délicats à de tels personnages. C’est le moins que l’on puisse dire.
... Oui, de plus en plus de doutes sur la crédibilité du rapport "Sauvé", et nous ne sommes pas les seuls, malheureusement ! A quoi jouent les évêques ?
En partage ce lien :
EXCLUSIF! L'incroyable vérité sur le Rapport Sauvé - FL24.net
... Et d'abord, pourquoi ce serait encore à nous, les pratiquants, à mettre la main au portefeuille une nouvelle fois, ceci pour aider à indemniser les victimes. Qui a pratiqué la loi du silence depuis tant d'années ?
Cette "fausse" Eglise nous désespère actuellement, ce n'est pas l'Eglise voulue par Notre Seigneur, mais dans ce monde "entre-soi", plutôt hypocrite qui compose l'Eglise d'aujourd'hui, nous avons beau élevé nos voix, elles ne font pas le poids... et cela va nous valoir un déluge de souffrance, de désintérêt pour l'Eglise.
Nous sommes impuissants malheureusement mais il faut persévérer dans la prière, la Confiance en Dieu et non aux hommes, l'ESPERANCE. A DIEU, RIEN N'EST IMPOSSIBLE. D'un mal, Dieu en fera un bien, cela nous n'en doutons pas un instant.
==================================================================================== Seigneur, aide-nous maintenant à être vraiment catholique et à rester dans la grande vérité, en ton Dieu, et ainsi vivre et mourir.
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Philippe consacré
Messages : 2093 Date d'inscription : 03/08/2010 Age : 76 Localisation : Maisons Laffitte
Sujet: Re: Abus sexuel Lun 11 Oct - 20:52
le même mal qui ronge le monde politique. On veut la Vérité mais ils ne répondent pas à notre attente.
Messages : 2093 Date d'inscription : 03/08/2010 Age : 76 Localisation : Maisons Laffitte
Sujet: Re: Abus sexuel Mar 12 Oct - 0:09
Et encore ça qui vaut bien son pesant de cacahuète. Je suis le premier à m'attrister sur les victimes, comme aussi sur les prêtres coupables qui ensuite doivent se retrouver dans une angoisse épouvantable. Marie la première a dit en pleurant à La Salette : "Malheur à vous prêtres, vous êtes des cloaques d'impureté" . Mais je reste catholique car je sais que l'Eglise, ce n'est pas ça, et certains vont en profiter pour détruire la véritable Eglise, tout en versant des larmes de crocodiles.
EXCLUSIF! L’incroyable vérité sur le Rapport Sauvé
Image d'illustration / Photo: Pixlr
Le Rapport Sauvé sur les crimes sexuels commis par des religieux français, et qui bouleverse l’Église depuis plusieurs jours, n’est certainement pas aussi fiable qu’il en a l’air. FL24 a fouillé où personne ne regarde, et ça fait mal.
Citation :
En effet, pour arriver au chiffre de 216 000 victimes, l’équipe du Rapport Sauvé en a interrogé 243 directement et 2 819 par lettre. Cumulé, cela fait donc 3 062 témoignages directs. Mais alors, d’où viennent les 212 938 autres victimes? Elles ont été déduites par extrapolation. C’est-à-dire, en français courant: “en gros”. Reste alors à savoir à quel point, et suivant quelle intention. Voyons comment le travail de recherche a été effectué hors des témoignages proprement dits. Dans un premier temps, un institut, l’Ifop, a organisé un sondage aux résultats forcément imprécis, comme tous les sondages. Puis, dans un deuxième temps, une chercheuse d’un institut de recherche médicale, l’Inserm, a transformé ces résultats imprécis en thèse précise. Cette thèse, nous la connaissons tous depuis quelques jours: l’Église est très gravement et très massivement coupable. Rappelons maintenant que l’Ifop produit une quantité astronomique de sondages politiques dont l’imprécision est tellement notoire que plus personne de sérieux ne leur fait réellement confiance, au point que le bon peuple se demande régulièrement s’ils sont truqués, et il est impossible de lui prouver qu’ils ne le sont en aucune manière. Rappelons aussi que l’Ifop est très régulièrement missionné par Emmanuel Macron, comme par tous les présidents de la Cinquième République précédents. L’Ifop est un organisme privé, mais il se nourrit grassement d’argent élyséen: son indépendance politique peut être considérée comme pour le moins douteuse. Rappelons également que l’Inserm a été dirigé par Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn, nommé depuis Conseiller Juridique d’État par Emmanuel Macron, par ailleurs ennemi juré du Professeur Raoult, et qui a activement participé à la création du laboratoire P4 de Wuhan. Cette précision est sans rapport avec l’affaire qui nous occupe, certes, mais elle donne tout de même une petite idée de l’indépendance politique de cette institution. Et maintenant, voici le meilleur: pour le Rapport Sauvé, le travail de l’Inserm a été mené par Nathalie Bajos, sociologue et démographe, Responsable de l’Équipe Genre dans cet organisme public. Sur le site de l’Iris, autre organisme public, elle annonce qu’elle “interroge les inégalités sociales de santé en croisant la sociologie de genre et la sociologie de la santé et en convoquant une perspective intersectionnelle d’articulation des rapports sociaux de domination, de classe, de genre et de race“!. Quelques exemples de ses travaux passés? “La contraception : levier réel ou symbolique de la domination masculine?” “Les inégalités sociales d’accès à la contraception en France.” “Les enjeux contemporains de la légalisation de l’avortement.” “Les femmes sont-elles encore libres de leur contraception?” Nathalie Bajos prend la parole dans des revues intellectuelles féministes, dans Libération, chez France Culture, entre autres. Donc, disons-le tout net, car c’est l’évidence même: l’enquête sur les crimes de l’Église a été synthétisée par une féministe de gauche. On peut même dire: d’extrême gauche, car l’expression “rapports sociaux de domination, de classe, de genre et de race” ne laisse planer aucun doute sur ses préférences idéologiques. Autrement dit: l’enquête sur l’Église a été menée par une femme qui est probablement une adversaire de l’Église. On est même en droit d’imaginer que le Rapport Sauvé est l’enfant malade d’une ennemie du catholicisme. Un enfant conçu pour contaminer le peuple des croyants. Oui, on est en droit d’imaginer le pire: une vaste opération de manipulation idéologique. Et ce droit, nous appelons tous les catholiques, et les autres également, à l’exercer. Voilà qui doit faire réfléchir tous ceux qui, en prenant connaissance des conclusions de ce rapport, on souffert dans leur âme et dans leur chair, ont ressenti de la déception, de l’indignation, de l’amertume, de la tristesse ou de la colère. Tout n’est pas aussi simple qu’il y paraît. Peut-être le Rapport Sauvé est-il le Rapport Possédé. Oui, des membres de l’Église ont fauté. Oui, l’Église a raison de demander pardon. Mais nous ne pouvons qu’être terriblement gênés par ce que nous découvrons non seulement dans ce rapport, mais sur ce rapport. Dans cette vidéo, Nathalie Bajos explique que les parents ont tort d’être angoissés à l’idée que les enfants regardent du porno, car il est temps que les pères et les mères cessent de s’occuper de la sexualité de leurs petits. Oui, vous avez bien lu. C’est cette femme qui signe le Rapport Sauvé. Vous pouvez maintenant ranger ce rapport sur une tout autre étagère que la parole d’Évangile, et partager d’urgence cet article avec tous les catholiques de votre entourage.